Rubrique qu’est-ce que le yoga et les traditions ?

Bonjour,

Une tradition ancienne, ceci est l’objet de l’association « yoga, art de vivre et tradition ». L’institut avec ces praticiens et intervenants ont des pratiques ancestrales dites traditionnelles, mis au goût du jour, elles s’attachent à une éthique.

Le Texte sacré et référence, les Yoga sutra, nous dit en ce monde : « on ne peut pas ne pas agir. » Ceci en 200 av. J.-C. et 500 apr. J.-C et le yoga se base aussi sur les Védas, il y a 15 000 ans. On peut parler de patrimoine de l’humanité, moyen de réflexion actuel, point de vue. Il propose des solutions pour cette action, en premier une base : « l’éthique » : une relation à soi, à ce monde, pas à pas, avec nuance, douceur et fermeté, dans notre engagement, dans cet accès à soi.

Le premier point est la bienveillance, la non-violence : en acte, en pensée, en parole. Ceci est un réfrènement (yama en sanskrit), ce qui veut dire qu’il y a « apprenti sage ». Ce n’est pas une morale, mais une attention. Car cela marque une limite en toute relation, en ce monde, il y a alors une possible élévation de la conscience, voici la pratique du quotidien et du temps pour soi en nos pratiques traditionnelles, un heureux moment pour grandir, s’élever de manière incarnée et pragmatique. Ceci est valable pour notre corps, mental, pensée et la relation à tout être, en première prendre conscience et arrêter de nuire. Le yoga et les traditions ancestrales restent donc un moyen de Délivrance.

Ce qui peut être appliqué par tous, sur le plan individuel (corps, mental) associatif, entrepreneurial, politique, amical... un art de vivre. Il demande donc en nos actions prudence, tempérance, force d’âme, rapport juste au monde (ceci est tiré des vertus cardinales, transmît par l’occident, une autre façon de s’établir en sagesse dans notre relation au monde). Le point de vue de ces pratiques et que nous devons pratiquer nous-même et que si l’on ne peut pas s’éviter la Souffrance d’aujourd’hui et d’hier, on peut s’éviter celle de demain, la guerre, la discorde, la souffrance, la douleur de demain sur soi et sur l’autre par la bienveillance.

N’est-ce pas une Intelligence universelle qu’il est bon d’envisager que la bienveillance ?

La gentillesse, la bienveillance sont des actions désintéressées et n’attentent rien en retour, un rapport au monde, à soi, aux autres, une clé de nos délivrances, ignorances et limites mentales personnelles sur le sens de ce qui est vrai, juste, bon. Une loi à cultiver face à nos doutes, incompréhensions, nos histoires, nos pensées limitées ; sans doute qui sont en liens avec nos souffrances, dont on peut avoir compassion, mais qui demande limite.

Voici l’intention et l’attention qui peuvent être portées en nos vies par choix comme une pratique et donc un renoncement à la malveillance, comportements belliqueux et jugeant au travers de nos paroles, pensées, actions, pas à pas une ouverture à la Conscience en l’instant present. Ce qui demande, pleine conscience, présence, acceptation et tolérance, fermeté et souplesse dans nos pratiques. Une pratique, un choix, une voie de délivrance qui est pour l’adepte, le praticien, l’individu qui se veut autonome et responsable, dans toutes ses relations, à tout être, à lui-même, au monde. Prendre soin en se respectant, l’instant en Paix, en Joie dans l’action de notre propre existence, là ou nous en sommes, pas de morale, chacun son parcours, avec un but commun de délivrance.

La vérité est le prochain point de l’éthique : elle n’appartient pas à l’homme, mais au monde lui-même, à découvrir aussi pas à pas... un beau chemin d’humilité. Mais j’aurais l’occasion d’aborder cela au travers de l’éthique et les traditions qui sont au service de l’individu, vues comme un exercice tendre avec soi, avec tous. Allons, soyons gentilhomme, femme en deux mots ou un engagement intérieur !

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